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Message par euphorie Mer 19 Sep 2012 - 2:24

salut j'ai besoin des informations sur l'organisation de medinas leurs fonctionnement ......

bon courage pour tout le monde

euphorie

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Message par emy lee Mer 19 Sep 2012 - 11:56

bjr!
y'a un très bon livre sur ce forum, "la ville et la maison arbo musumane" Smile))

emy lee

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Message par maram-archi Mer 19 Sep 2012 - 20:54

salem pour tous.. il ya aussi le sujet de MmeS. BENABBES Département d’Architecture, UniversitéMentouri, Constantine qui prent le titre
''''La médina et la ville, pour quel aménagement ?''''.
ça peut vous aider.

RESUME:Malgré l’importance indéniable des médinas, elles n’ont pas pu s’inscrire dans les préoccupations desplanificateurs, et elles ont été souvent écartées des nouvelles orientations, même lorsqu’on a prétenduvouloir les conserver, elles ont été évitées par les dispositions des plans d’urbanisme. Or la place de la cité historique dans l’agglomération globale est un élément déter minant et guide pour leschoix d’aménagements futurs. Dans la pratique, et à différents degrés, on assiste à la translation des activités dynamiques de la médina,vers la ville nouvelle extra muros. La dichotomie de deux systèmes urbains aux contenus culturels sicontrastés, crée un état de déséquilibre « psycho spatial », amplifié par la crise urbaine. Celui-ci se traduitpar l'intériorisation de la médina transformée en un espace social « Prolétarisé » et un espace urbaindégradé (D. BENJELLOUN, p.23).La rivalité entre la ville et la médina n'est pas seulement socio-économique. Elle est également d’ordrearchitectural et conceptuel.Dans ce contexte, comment réfléchir donc à la nouvelle vocation de la médina et comment intégrer sapolarité dans la ville ?Son problème prend une forme « bidimensionnelle », il se pose d'abord en terme de survie et de sondéveloppement intérieur, et, en terme d’expansion et du rôle joué par cette dernière dans le reste del'agglomération.La communication que je propose, seveut une lecture synthèse et critique a partir d’une recherche delongue haleine sur les enjeux, stratégies et doctrine de la réhabilitation des médinas, comme elleprésentera un essai typologique sur les différentes interventions urbaines relatif à ce type de tissu, apartir d’un bilan des approches faites sur les médinas maghrébines au cours des 30 dernières Années.Enfin, que faire aujourd’hui et demain de ces tissus urbains, et quelle place leur réserver dans lespolitiques urbaines?
MOTS CLEFS :Médina Maghrébine, politiques urbaines, Typologie des interventions, Stratégies, doctrines.
INTRODUCTIONLa place de la cité historique dans l’agglomération globale est un élément déterminant et guide pour leschoix d’aménagements futurs. Les villes modernes du Maghreb évoluent vers un cosmopolitisme formel de couleur technologique etidéologique d'emprunt, reléguant les activités des médinas à un rôle périphérique et folklorique.L'urbanisme communautaire s'en trouve ainsi amoindri, appauvri et étonnamment déprécié, au profit d'unurbanisme Officiel »1.Dans ce contexte, comment réfléchir donc à la nouvelle vocation de la médina et comment intégrer sapolarité dans la ville ?On assiste assez souvent à une concurrence et dualité entre la centralité de la cité ancienne, qui étaitsouvent la ville toute entière, puis devient le centre ville, puis voit son rôle s’éclipser ; et le centre ville decréation récente.En effet, et généralement le centre traditionnel de la ville fait une translation spatiale vers des terrains pluspropices, offrant de meilleures conditions de services et d’échanges, créant le centre nouveau.Seulement ce nouveau centre de création nouvelle, peut ne pas être concentré au niveau d’un espaceunique, il peut avoir une configuration linéaire et même diluée dans une bonne partie de la ville.Profitant de cette situation et de ces conditions, il y a eu plusieurs tentatives pour reconquérir la centralité« perdue » autour du noyau historique, seulement souvent il y a eu négligence du fait que la réalité estformée désormais de deux pôles distincts qui ont leurs avantages et leurs inconvénients, et qui ont desrapports d’interdépendance(pour illustrer cela nous n’avons qu’à voir l’échec de l’opération de sauvegardede Fès, qui n’ apas réussie son recentrage pour des difficultés de site )Une telle reconquête passe par une opération de revalorisation, en vue de renforcer et adapter laconfiguration actuelle aux conditions nouvelles en matière d’hygiène et d’accessibilité; tout en veillant àmettre l’accent sur la récupération du rôle polarisateur prédominant, afin qu’on puisse répondre denouveau aux besoins de toute l’agglomération. Le résultat d’une telle approche, peut mettre le noyau historique objet à deux débats contradictoire:Est-ce qu’il réussirait son rôle nouveau de reconquête de place qu’il lui estdû dans toutel’agglomération? Ou bien se contenterait-il seulement d’être un pole centralisateur, spécialisé,parmi dans d’autres de création récente? Si c’est ce nouveau rôle qu’il aura à jouer, comment pouvons-nous veiller à trouver un équilibre etune cohérence entre lui et le reste des pôles.
I- LA REHABILITATION DES MEDINAS : ENJEUX, STRATEGIES ET DOCTRINELes grandes mutations économiques et sociales des dernières décennies ont entraîné une urbanisationaccélérée, un développement démesuré et non maîtrisé des agglomérations et une transformation del'image de la ville.Les médinas n'ont pas échappé à ce phénomène, ils se trouvent ainsi en déclin, comme conséquence depolitiques urbaines globales trop souvent peu cohérentes et inefficaces.Ainsi, leur problème prend une forme « bidimensionnelle », il se pose d'abord en terme de survie et deleur développement intérieur, et, en terme d’expansion et le rôle joué par ces der niers dans le reste del'agglomération.
'1" DrBichara KHADER et Prof. Jean-François NIABARDI; Réhabilitation des médinas Maghrébines.Directeur du Centre d'Etude et de Recherche sur le monde Arabe Contemporain (U.C.L.- D.V.L.P.) ; UnitéArchitecture (U.C.L. - Faculté des Sciences appliquées) ; Centre d'Etude et de Recherche sur le monde arabeContemporain n°41-42 ; Pp22-23.

Ce qui nécessite la définition de « tentatives» d’interventions à travers les opérations classiques derénovation, réhabilitation et restructuration « intra-muros », et parallèlement, penser aux actions ouvertesvers l'extérieur des noyaux historiques, afin de les désenclaver, les relier, les rééquilibrer et leur donnerune dynamique nouvelle par rapport aux extensions urbaines plus récentes.1- Pour quelle démarche en vue de réhabiliter la médina ?2 Les écueils quele débat se devait d'éviter, c’est de ne pas tomber dans un archivage de la Médina dansla ville, ni dans une pétrification d'un tissu de relations sociales et culturelles, mais il faut tracer clairementla perspective d'une réhabilitation qui passe par une revitalisation des ensembles qui ont survécu à laboulimie de la ville dite « moderne »3.Cette ouverture a poussé Dominique DEREMIENS, selon les propos de J.F.Mabardi, à prôner lanécessité de ramener avant tout l'objet du débat à la considération publique, par une réhabilitation quidonne à nouveau une légitimité, qui a été interrompue pendant quelques décennies.Cette « appropriation » vient comme un processus de « re-connaissance » théorique qui dépasse ladescription et en propose une lecture profonde.Une infinité de travaux et réflexions ont eu lieu pour imaginer un devenir à ces espaces sensibles, par desinterventions, mais lesquelles ? Et quel est (sont) le(s) concept(s) les plus appropriés ?« D'abord il s'agit de réhabiliter quoi ? Un tissu urbain physique ? Des fonctions spécifiques ? Une entitéculturelle et religieuse ? Un centre de Pouvoir ? Un espace de convivialité ?Ils pensent que ces noyaux historiques ont connu une décadence certaine, ils n’ont pas su résister à lamodernité, malgré la profondeur historique qu’ils recèlent, donc ils se retrouvent en quelque sorte dansune position de « disqualification » pour laquelle il faut penser à la retrouver.2- Les différents rapports aux centres historiques dans la réhabilitation:Afin d’apprécier les différents rapports qu’ont les différents acteurs à ces centres historiques, il faut serappeler que ces espaces fonctionnaient dans une trilogie formée d’un pôle culturel, un pôle productif etun pôle d'échange, où l’habitant du lieu est le principal acteur.Il suffit qu’il y ait perte d’un des pôles, pour que l’ensemble se déséquilibre et perd de son essence. Donc toute opération de réhabilitation de la médina doit trouver une nouvelle synthèse de cet ordreternaire pour lui donner sa véritable dimension.Après tant de déclin et de décadences, les centres historiques ne présentent aux yeux des responsablesou décideurs aucun enjeu, du moins pour leur échéancier, qui s’inscrit dans le court terme; En réalité, cetype de relation devient problématique.Du côté des concepteurs, il y a deux solutions envisageables extrêmes :La conservation pure ou la destruction totale, « les enjeux de la légitimité, de l'identité, de lamodernisation, ont formé variablement pour conserver, aménager, remanier une partie du tissu urbaintraditionnel ou le faire disparaître »4.Quant aux pratiques de la société, la population originelle les a déjà abandonnées depuis longtemps, lorsde l’accession des états à l’indépendance, car on les trouvait déjà incommode aux conditions de viesnouvelles.
Leur réutilisation comme terrain de transit par une population rurale déracinée, en les utilisant comme unterrain d’apprentissage des valeurs de la ville n’est plus d’actualité. Les centres historiques n'ont plus cepouvoir intégrateur de quintessence sociale et culturelle qui permettait, dans le passé, l'accès à unevéritable citadinité, au bout d'une ou de deux générations.Il y a également une autre agressivité dissimulée ou prononcée de la part des gestionnaires locaux, envoyant à travers ces espaces des terrains propices pour des gains rapides au nom du tourisme ; et ilsrejettent de façon sournoise toute opération de réhabilitation qui intègre l’aspect social et qui a uneemprise sur la culture citadine, car elle est plus longue, et nécessite plus de moyens.2.1- Les enjeux de l’aménagement des Médinas: Durant les années 50, et les débuts des années 60, on a considéré les vieilles villes comme partieintégrante du capital national, mais l’inertie et les dysfonctionnements de ces espaces historiques, quisymbolisaientl’arriération, ont été surtout perçues comme étant des obstacles à des options demodernisation prônées par les nationalismes triomphants. Donc à travers les projets d’urbanismesuggérés par les bureaux d’études essentiellement étrangers on ne leur a pas accordé la place méritée.Ce n’est que dans les années 70, qu’est intervenu un renversement de sensibilité dû pour une part, à larecherche d’identités culturelles islamiques et pour une autre part, à l’action d’organismes internationauxcomme l’UNESCO, relayée sur place par des défenseurs avertis des patrimoines en Péril. Par ailleurs, lesouci gouvernemental de vouloir valoriser les potentialités touristiques, pour un souci économique et derentabilité pour le long terme, la question de revalorisation du patrimoine a été reconsidérée; Seulement,dans la manière où elle a été prise, elle diffère d’unEtat à l’autre. Donc tel enjeux ont conduit à des choix d’aménagement différents, et souvent non cohérents entre lesobjectifs affiché et la réalité. S’agit-il au fait d’un manque de maturation culturelle, de moyens budgétairestronqués avec la conjoncture économique internationale et les plans d’ajustement structurels qu’on estentrain de payer lourdement et doublement, d’abord par un retard d’investissement et de croissance, etsurtout par le laisser aller à défaut de moyens, et que patrimoine historique et culturel est la principalevictime.Avec l’étendue du monde arabe, et les différentes politiques menées dans chaque pays il y a eu toute unediversité d’approches, allant de la restauration, conservation de quelques édifices, à la réhabilitation plusou moins globale du tissu, à la redéfinition fonctionnelle de la vieille ville.Par la restauration et la conservation, de quelques édifices ponctuels on frôlait le risque d’avoir unemuséification, tout en vidant des quartiers de leur population, en particulier pour mettre en valeur certainsmonuments, comme cela était envisagé et n’a été que partiellement réalisé autour de la mosquée desUmayyades, à Damas.Pour une opération de réhabilitation plus ou moins globale d’un tissu bâti, on est conduit à l’accompagner d’une opération de la dédensification, suivie d’un rééquilibrage par des classes moyennes où aisées,capables d’entretenir les constructions une fois réhabilitées.Dans ce cas de figure, le phénomène de « centrification» risque d’émerger, comme, à SidiBou Saïd prèsde Tunis.Quand il s’agit par contre d’une redéfinition fonctionnelle de la vieille ville, cela suppose forcément uneintervention sur les éléments de la centralité et l’introduction d’activités nouvelles, prenant la relève dessecteurs artisanaux en déclin et visant largement une clientèle touristique. La conséquence de cetteréorientation est le désenclavement afin de permettre une meilleure accessibilité, comme au centred’Alep. Il convient, d’autre part, d’entreprendre des opérations de reconversion ou de réaffectation desédifices dont l’usage collectif est tombé en abandon; c’est en par ticulier le cas des khans au Moyen-Orientdont un certain nombre est reconverti à des usages culturels ou touristiques, par exemple à Baghdad.Ces trois choix fondamentaux ne sont en fait que les trois volets d’une démarche idéale tendant à larégénération des vieilles villes, en vue de freiner les processus de dégradation, de reconstituer un tissusocio-économique vivant et diversifié, et intégrer les éléments symboliques de la continuité sous formed’édifices publics, du genre, mosquées, commerces, hammams, fontaines, etc. La recherche de cedifficile équilibre, entre ce qu’il faut conserver et ce qu’il est nécessaire de prendre aux technologies contemporaines, conduit à une forte différenciation entre les divers États.
2.2- La place des noyaux historiques dans l’aménagement urbain: 5 En suivant l’ensemble des attitudes à leur égard, on se rend compte qu’à l’indépendance, ils étaientabandonnés par leurs propres propriétaires qui trouvaient la réponse à leurs besoins nouveaux se situaitdans les biens vacants ou dans la partie moderne de la ville.Quant aux premiers outils d’urbanisme et de planification urbaine, les cités traditionnelles, n’étaient pasinscrites dans les préoccupations des planificateurs. On les considérait déjà comme noyaux insalubres,ne répondant pas aux nouveaux besoins et aspirations de leurs habitants.C’est ainsi qu’on a conçu le développement futur des cités sans tenir compte de leur existence. Elles ontété même « évitées» par les dispositions des plans d’urbanisme. Un tel comportement à leur égard étaitmatérialisé spatialement, par des séparations fortes sous forme d’axes tranchant entre eux et la villemoderne, soit par des percées « in-situ »pour relier des parties distinctes de la ville, ou encore, par desopérations de démolition reconstruction pour récupérer certains terrains nécessaires à l’expansionnouvelle.L’urbanisation accélérée et la dislocation de l’ensemble des agglomérations urbaines par des politiquesde développement, ponctuelles, incohérentes et inefficaces a accentué leurs déclin.Elle s’est faite par une mauvaise intégration spatiale, sociale, et économique, qui a soutenu assezsouvent la désarticulation physique et fonctionnelle qui caractérise les villes.Ce développement a exhorté une saturation sansprécédent au niveau des médinas, ainsi qu’uneprolifération accrue des zones de « sous habitat » ou de lotissements populaires, planifiés ou non.Donc, la médina a évolué dans un cadre dualiste et devenue ainsi, ou tend à devenir une composanteantisociale de l’ensemble urbain, marquée par une désintégration et une marginalisation par rapport aureste de l’agglomération. Elle voie ses fonctions économiques atteintes, ses moyen financiers affaiblis par rapport à la ville neuve,donc son rôle s’amoindri, avec des difficultés d’intégration à la vie urbaine et au reste de la ville. «Parallèlement à l’affaiblissement de ces structures, la cité traditionnelle regroupe de plus en plus unepopulation aux ressources très limitées, souvent d’origine rurale. Cette rurbanisation de la cité, facteur de marginalisation, amène le noyau ancien à se situer à un niveaud’intégration urbain spécifique, intermédiaire entre le «sous-habitat » et la ville neuve »6.Donc l’expansion démesurée de la ville moderne a retrouvé denouveau un terrain propice pour samanifestation dans la cité traditionnelle.On assiste de nouveau, à l’avancée de la ville nouvelle sur le territoire du noyau historique, après lui avoir tourné le dos, d’une façon informelle, par des reconstructions précaires profitant de l’existence desinterstices, et par des interventions réglementées souvent contestées, car ne pouvant se faire à l’abri despéculations foncières certaines.Dans l’ensemble de ce contraintes et des pressions qui gravitent autour de cesnoyaux historiques,qu’elles sont les conditions nécessaires et préalables qui peuvent leur permettre une survie et dans quelcadre ?

BILAN DES APPROCHES FAITES SUR LES MEDINAS MAGHREBINES AU COURS DES30 DERNIERES ANNEES7
La diversité d’approches et la multitude d’analyses de cas des médinas du Maghreb, se présente de façondifférente, selon que l’on soit de l’intérieur ou de l’extérieur. Un fait commun se dégage à travers les différentes analyses :
 Il n’y a pas au fait de diversification d’approches, on trouvait dans les médinas leur propreslogiques, comme des enclos autonomes, y compris chez ceux qui affirment considérer la médinacomme un sous ensemble d’un ensemble plus vaste, celui de l’agglomération urbaine;
On revient assez souvent sur la question de centralisé de la médina (géographique, etéconomique en déclin), sans l’intégrer aux centres villes démultiplies. Elle devient un espace péri-central et on se contente de cette nouvelle place ;
Il y a déphasage flagrant entre les analyses urbaines préliminaires et les propositions sous formede schémas d’aménagement, où la médina finit par être un enclôt sans rôle précis futur dansl’agglomération;
 Les 10 dernières années, ont vu la concrétisation de certains projets et leur mise en œuvr e (casde Fès. deTunis, Hafsia) et nous ont permis de visualiser ce qu’il ne fallait pas faire en termesd’intervention.
Les flux migratoires vers les médinas se sont fléchis et inversés par les dégradations importantesdes dernières années.
« Les jugements dépréciatifs » aient pratiquement disparu du discours scientifique. JALALAbdelkafi en 1987 affirmait, qu’entre un discours politique qui magnifie la dimension culturelle dupatrimoine, mais ne produit que des mesures juridiques pénalisantes, et un discours scientifiqueet professionnel qui, le plus souvent a produit des représentations idéologiques de la villeancienne, n’ayant contribué qu’à obscurcir sa compréhension».
« la question de la dualité du fait urbain » à la lumière de concept de ville ancienne, qui se poseen termesd’opposition de la forme historique de l’espace aux formes nouvelles du processusd’urbanisation.
D.PINI (1982) affirmait que : « la réhabilitation de la casbah ne peut être conçue comme uneévasion des problèmes les plus urgents de l’agglomération, mais comme le début d’une politiqueurbaine visant les contradictions qui découlent de l’Etat déséquilibré de l’agglomération algéroisedont participe aussi l’espace historique…»
.Il y a également défaillance des propositions économiques dans les études d’aménagement desmédinas.
Comme le pense J.PEGURIER (1982), les caractéristiques de cette économie sont analyséessouvent comme marginales, peu productives et en crise.
Elle tient aussi à ce que certaines des activités les plus visibles, apparemment les plusdynamiques, relèvent de ces phénomènes de « bazardistion » liés au tourisme international, etpourquoi pas national, que M.BERRIANE EN 1980 avait déjà dénoncé car il donne lieu à une« soukalisation » excessive des principales artères des médinas, un caractère qui n’est pasforcement en adéquation avec ses spécificités.Cependant d’autres chercheurs comme GROUDA M.1982, qui avait avancé la contre argumentation à cetaspect de « Soukalisation » en évoquant le cas de Sfax qui ne doit rien au tourisme international. Samédina a connu certes des mutations spatiales, mais la raison est entre les mains des acteurs locaux etaux potentialités du marché régional.
Et si sa position stratégique faisait de sa médina un espace économique important du centre ville, soncadre physique limite inéluctablement sa nouvelle vocation.Aujourd’hui «soukalisée», elle pose d’énormes difficultés de circulation et de viabilisation.
B.LADGIM Soussi (1982,1984) A montré pour sa part dans le cas de Marrakech, qu’au-delà desapparences, l’artisanat était dynamique, inventif, en pleine transformation facilement adaptableaux diverses formes et aux besoins des différents clients, par leur différence de revenus et ladiversité de leur héritage culturel; on l’évoque d’ailleurs comme un cas de réussite et « d’auto-prise» en charge. Le secret réside au fait que l’artisanat est omniprésent dans les foyers quelquesoit leurs niveaux de vie, et les aspirations des membres des ménages. Il demeure une sourceimportante d’emplois et de revenus. Les approches et le sort réservé aux médinas maghrébines différent d’un terrain à l’autre.
 Le cas de Monastir (par exemple) Au nom de la rationalité et de l’hygiène, on a détruitetreconstruit, sans qu’une entité cohérente remplace véritablement le système de vie traditionnel :L’agglomération s’est étalée, l’environnement a été dénaturé, l’espace domestique a étéperturbé :Les problèmes urbains n’ont fait que s’aggraver et sur le plan architectural, un choixs’imposait entre le respect de l’ancien et un« faux modernisme ».
Le cas de OUJDA au Maroc, demeure analogue à celui de Constantine en Algérie, leurs espacesont connu une ruralisation, un surpeuplement et une paupérisation.Les médinas tendent à devenir un ensemble d’ilots taudifiés, mais loin d’être un anachronisme, ilsdemeurent des espaces urbains utiles, d’où la nécessité d’envisager en urgence des opérationsappropriées pour leur redonner un fonctionnement harmonieux.
Quant au cas de la médina de Fès, dans le schéma directeur de la structure la bipolarité sélectiveest affirmée; un centre traditionnel (médina) s’opposant à un centre moderne, chacun exerçantune attraction différenciée sur les diverses couches sociales; mais il existe en outre, un centresecondaireFès Jdid, trait d’union entre les deux précédents et centre commercial de 1er plan(grossistes et détaillants) et des « sous centres » principalement Bab Ftouh, capable deconcurrencer sérieusement Fès Jdid grâce à la gare routière, aux dépôts de commerce et à leurrôle de pôles d’échanges entre la ville et les souks ruraux régionaux. Donc, le schéma directeur visait à renforcer le rôle de la médina en tant que centre principal del’agglomération. Il s’agira d’organiser d’abord la fonction commerciale de lamédina, qui à tendance àremettre en cause la structure initiale, puis de réorganiser le secteur de la production en assurant lareconversion d’une partie de l’artisanat à l’intérieur même de la ville historique. Mais il y a une bonne faille entre les intentions du projet, et les conditions de son application. Pour le cas de la casbah d’Alger : on s’est rendu compte, qu’il ne suffit pas de faire une bonneétude pour régler les problèmes de la médina.Les propositions de l’atelier Casbah, se sont apparues parmi les rares études à ne pas enfermer laCasbah dans une coquille, à la considérer comme un quartier urbain, devant récupérer un rôle essentieldans l’agglomération capital, et redevenir l’élément ou l’un des éléments structurant de l’ensemble decette agglomération.L’expérience d’Alger a montré que l’outil technique mis en place a perdu de son efficacité par le simple jeudes transferts de tutelles, et dilution des responsabilités, sans pouvoir capitaliser les différentes études etexpériences.Par ailleurs, on ne saurait jamais prendre assez de précautions dans les approches préliminaires,notamment au niveau des facteurs socio-économiques
1. La question de centralité dans la médina :La centralité urbaine, est le lieu de production de services et de contacts, caractérisé par la spécialisationdans l’usage de l’espace et des bâtiments et par l’existence de flux de fréquentation ayant chacun leur spécificité temporelle et contribuant à l’animation générale de la ville.Théoriquement la centralité dans la ville arabe s’identifiait généralement grâce à l’existence dans lesmédinas de trois éléments structurants: le palais ou la citadelle, la mosquée du vendredi et les souks oubazars. Mais depuis trois décennies, les vieilles villes connaissent une accélération vertigineuse de leurprocessus de tertiairisation, et une intégration dans les systèmes urbains, notamment sur les plansadministratif et socioéconomique. Seulement, la centralité enregistre d’importantes transformations danssa localisation. La recomposition spatiale qui en résulte modifie non seulement le paysage de la vieilleville et celui des quartiers modernes mais elle restructure aussi la physionomie globale desagglomérations et détermine les axes forts de leur fonctionnement aujourd’hui.La triptyque relative au fonction de la médina - religieuse, politique et économique - et les liens organiquesqui les unissaient sont remis en cause, car au fait il y a d’autres facteurs qui entrent en jeux. Par ailleurs,on note, l’augmentation d’activités marchandes et artisanales.Ce gonflement fonctionnel par une tertiarisation excessive consolide le poids de la médina dans lefonctionnement général de la ville.En fin, il y a une diversité de formes urbaines et des diverses manières où chacun des pays du Maghreb asuivi pour mettre en valeur son patrimoine ou tenter de réhabiliter quelques médinas « phares », dontplusieurs recherches et études ont essayé de mettre en évidence.
2-Que faire aujourd’hui et demain de ces tissusurbains de médinas ?Cette même question a été déjà posée par Jean BISSON et Jean François TROIN8 en 1982, où ils sedemandaient s’il fallait en faire de somptueux.monuments historiques –au moins partiellement –vide designification autre qu’esthétique, mais point forts d’un tourisme de masse avide d’exotisme, avec pour corollaire, quasi inévitable, cette « bazardisation » .
Où fallait-il rénover quelques îlots prestigieux par une reconversion immobilière et sociale, aubénéfice de spéculateurs en mal de résidence secondaire ?
Où bien fallait-il tenter un réaménagement d’ensemble modulé et progressif ?Jusqu’aujourd’hui, c’est la «déviation touristique » qui a pris le pas sur nos médinas ainsi, elles voientleurs espaces mutilés, parfois dégradés, et le peu de préservation de fragments qui existe de cesdifférents tissus, est justifiée financée et alimentée par l’emprise touristique, qui est restée la voieprivilégiée de l’intervention en médina. Toute intervention future, devrait s’intégrer profondément dans la vie des médinas en déclenchant desopérations capables à la fois de fournir des emplois, de faire participer ses habitants à sa rénovation, derenforcer le tissu social de celui-ci et de constituer par elles même un facteur d’intégration. La valorisation et la sauvegarde du patrimoine construit devrait passer obligatoirement par une logiqued’environnement, car il est question de bien être d’abord de la population qui y vive. La garantie de réussite d’une telle opération, passe nécessairement par une reconnaissance minutieuseet une compréhension profonde de la ville et de son fonctionnement.Pour cela, il est utile de comprendre l’organisation morphologique et fonctionnelle de l’espace urbain danssa globalité : les relations existantes entre les différents fragments qui le composent, et surtout, lesmécanismes économiques qui transforment l’espace et l’organisation urbaine, l’évolution des rapportssociaux et des besoins, le rôle des différents opérateurs et systèmes sociaux dont la médina constitue leprincipal pan.Dans les tissus traditionnels, il y a un problème de rôle, de fonctions, de significations à maintenir confirmer, à renforcer ou à créer, sans cela, on ne dépasse pas le cadre exigu des solutions sectoriellesdictées par les conditions d’urgence. Il y a des mesures à prendre, des leçons à tirer, des mécanismes à contrôler, et des processus à infléchirou à modifier.Elle devrait être perçue comme une opportunité pour orienter une partie importante de la croissancefuture de l’agglomération. Cela nous amène à reconsidérer les outils urbanistiques et les plansd’aménagement,pour les percevoir non seulement comme des documents administratifs de gestionurbaine opposable au tiers, mais surtout comme des documente, d’une stratégie; et un outil capable dedéfinir un cadre de référence, composé d’un ensemble cohérent d’objectifs et non pas de solutions figéeset destinées à être dépassées à long terme.Le Maghreb et le monde arabe ne montrent-ils pas quotidiennement l’incapacité de leurs systèmessociaux et politiques à faire prévaloir le principe d’économie sur celui de l’efficacité à court terme?Alors que la réforme au patrimoine suggère spontanément les idées de ressourcement, d’authenticité oude préservation.Donc, nos actions futures exigent de nous plus de vigilance et de rigueur dans la manière dont nousaménageons nos espaces.L’effet de séduction que nous devrions faire jouer à nos médinas dans l’économie monde devrait s’inscriredans une double perspective, pour leur propre développement intégré et durable, et pour qu’elles puissentassigner un nouveau rôle dans la sphère internationale, selon nos aspirations, nos modes de vie et nosvaleurs socioculturels pour ne pas subir le fantasme des pays développés sur leur manière de voir nosespaces aménagés par eux et pour une durée déterminée qui risquerait de mettre leur devenir en péril.Néanmoins, les enjeux de telles opératoires demeurent entre les mains des institutions locales en tantque maître d’ouvrages. Elles devraient être capable de définir la concertation et de proposer aux différentsacteurs économiques une manière productive plutôt que spéculative afin de tirer profit de la croissanceurbaine, une croissance durable en harmonie avec l’environnement.
Conclusion
 La permanence d’une forte identité culturelle s’exprime dans toutes les villes arabes mais n’est pas sanscontradiction. Il s’agit d’un héritage urbanistique exceptionnel, mais il dépérit face à la rénovation, et plusencore devant la détérioration, faute de politiques urbaines appropriées.L’explosion démographique, et le dynamisme qu’elle entraîne, rendent peu crédible les tentatives deplanification urbaine.L’espace urbain est en crise, à défaut de maîtrise des caractéristiques de l’urbanisation, d’autres secteursen souffrent, on peut discerner cela à travers deux questions, celle de l’emploi et du logement avec, encorollaire, l’augmentation du secteur d’emploi informel et l’extension considérable des quartiersspontanés. L’urgence de ces problèmes relègue au second plan, toute action sérieuse dans desdomaines comme l’environnement, les pollutions et la préservation du patrimoine9.Sur le plan de la recherche pure, et sans vouloir étendre d’avantage ce présent travail qui est déjà trèsvaste, il serait utile de regarder dans le future au-delà du Maghreb et de la Méditerranée, en particuliervers des villes qui ont connu la civilisation islamique, comme Herat, ancien centre Timouride, enAfghanistan, ou comme tant de villes historiques en Iran. Car, elles aussi, ont jusqu’à une certainesimilitude les mêmes problèmes, de méthode et de technique, et imposent le même besoin d’une réflexionscientifique. Comme il faut même songer à ouvrir le champ d’investigation à certaines villes de l’AsieCentrale Soviétique, comme Boukhara, pour confronter les expériences et en juger les méthodes.
Enfin, nous concluons par la reconnaissance du fait suivant: que l’espace médina, objet de notre étude,fonctionnait dans une trilogie formée d’un pôle culturel, d’un pôle productif et d’un pôle d'échange, oùl’habitant du lieu est le principal acteur, mais il suffit qu’il y ait perte d’un des pôles, pour que l’ensemblese déséquilibre et perd de son essence.Dans le cadre d’une véritable politique de réhabilitation comment combiner entre une rénovation deshabitations démolies, avec la réhabilitation du cadre de vie de certains espaces, et l’apport des différentséléments de confort nécessaire au temps actuel ?On a bien dit que le noyau historique est objet à deux débats contradictoire :Est-ce qu’il réussirait son rôle nouveau de reconquête de place qu’il lui est due dans toutel’agglomération? Ou bien se conterait-il seulement d’être un pole centralisateur, spécialisé, parmi dansd’autres de création récente ?Le centre historique pourrait devenir un élément structurant de composition urbaine et de planification,pour moduler le reste des interventions et équilibrer le fonctionnement global, et contribuer à laréunification spatiale et fonctionnelle de la ville.Sur le plan technique, il y a toute une série de mesures à intégrer, comme :Les contraintes liées aux conditions et utilisation modernes des édifices anciens, en veillant à éviter lamauvaise conservation, au sens technique et propre du terme.Il faut éviter le recours à une réhabilitation négligente, et utiliser des matériaux incompatibles, ou uneconservation avare. La restauration excessive ou la « sur restauration »est une mauvaise chose aussi,parce qu’elle a une influence insidieuse, et elleest doublement trompeuse.Comme il est nécessaire de se prévenir du mauvais usage de la discipline d’archéologie, à travers sesbesoins d’exploration peut devenir une manière fatale. Il faut éviter également la sauvegarde « négative » ou la sauvegarde « muséologique »qui reconvertie desensembles à des fossiles.L’aspect de formation devrait s’intégrer de façon systématique dans les politiques urbaines, car nos siteshistoriques souffrent également du sous encadrement et de la non qualification de la ressource humaine.L’intervention sur ce type de sites, devrait également être exploitée en vue de régénérer unartisanat semi industriel qui libère la créativité et offre dans le domaine du bâtiment une gamme trèsdiversifiée de produits et de matériaux, tout en préservant les formes traditionnelles porteuses de sens,afin de permettre à la production architecturale dans les villes arabes de demeurer créative, tout enpartant d’éléments spécifiques locales et traditionnelles, et s’ouvrir sur le monde contemporain.
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Message par archi Jeu 20 Sep 2012 - 20:16

emy lee a écrit:bjr!
y'a un très bon livre sur ce forum, "la ville et la maison arbo musumane" Smile))

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Message par maram-archi Jeu 20 Sep 2012 - 21:10

merci archi... y a aussi un fichier qui parle aussi sur les médinas maghrébines. je pense qu'il est interésant..
https://www.dropbox.com/s/5a0knrhxk6j6zud/les%20m%C3%A9dinas%20maghr%C3%A9bines.pdf?m
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Message par g.youcef! Ven 21 Sep 2012 - 22:09

mercccccccccccci les amis

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