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De l’architecture : Enseignement et production

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De l’architecture : Enseignement et production Empty De l’architecture : Enseignement et production

Message par Sam_bio Jeu 1 Sep 2011 - 17:57

Il ne s’agit nullement d’un procès de l’architecture, mais d’une contribution modeste d’un homme du métier ayant enseigné, géré et produit l’architecture dans ce pays.

Fort de quelque expérience, je devais absolument formuler ces remarques concernant cette discipline artistique passionnante. Si cet article devait être plus long, je l’ai abrégé dans une attitude de blé en herbe.
Enseignement : quel jugement faut-il porter ou ne pas porter sur la façon d’enseigner l’architecture qui est la nôtre, à savoir manipuler les pauvres étudiants et les pousser à compromettre des lignes et des courbes dans des traquenards architecturaux sans queue ni tête ? Si déjà l’acte d’architecture est une vanité, que penser alors de quelqu’un qui, en expliquant son pseudo projet, s’emploie à la première personne du singulier, en balayant son laps de temps avec d’interminables «j’ai fait… j’ai essayé de faire… j’ai pensé à…» et se donne à cœur joie de coller des principes conceptuels passe-partout à un produit de qualité discutable.

Cher étudiant en architecture ou nouvel architecte, l’humilité scientifique nous apprend à employer la forme passive dans l’explication de nos projets et si vos enseignants n’ont pas jugé utile de vous le communiquer, tenez-le vous pour dit. Pour rester dans le volet relatif à l’exposé oral, un nombre d’enseignants tolèrent le dédoublement de langue dans l’exposé : un étudiant expose en arabe classique en intercalant des termes en français, ensuite y rajoute de l’argot dans une attitude inacceptable et pas du tout scientifique. Le laisser-faire de l’enseignant est stimulé par le fameux slogan «l’essentiel est que le message passe», ceci est une induction en erreur de l’étudiant.

L’attitude scientifique digne est de sommer l’étudiant à exposer son travail dans une langue classique unique sans le limiter dans le choix de la langue : il peut expliquer en arabe, en tamazight, en français, en anglais… libre à lui de choisir la langue dans laquelle il peut s’exprimer. Dans nos instituts d’architecture, on est en train de dévier l’architecte de sa vocation première, à savoir la technique de la construction. En effet, un nombre impressionnant de nouveaux diplômés ne savent pas qu’en tant qu’architectes ils doivent maîtriser la technique de la construction.

Un grand nombre d’entre eux se targuent d’avoir fait un projet de fin d’études original du genre : cité scientifique, planétarium, cyberparc, centre nucléaire… et j’en passe, avec des grandes idées comme le concept du développement durable, l’architecture solaire, les méthodes conceptuelles avancées, tout cela est à leur honneur bien sûr, mais le problème dans tout cela, c’est que l’architecte nouvellement diplômé trouve quelques difficultés à maîtriser des projets moins compliqués dans l’exercice de sa profession. Remarquez que je ne parle pas du niveau, car je ne suis pas de ceux qui crient çà et là à qui veut les entendre que le niveau est bas et qu’il y a régression, non, aucunement, le niveau, qu’il soit celui de l’enseignant ou de l’étudiant, est ce qu’il est : il y a des génies, des compétents, des moins compétents et des médiocres, et l’université algérienne n’est pas plus mauvaise qu’une autre et a toujours produit des cadres de qualité qui s’imposent à l’étranger.

Cependant, les enseignants doivent inculquer un peu de rigueur aux étudiants, doivent se remettre en cause continuellement, ne doivent pas laisser l’étudiant passer à côté des objectifs pédagogiques fixés au préalable pour chaque année. L’enseignant doit guider l’étudiant à matérialiser ses idées intrinsèques en un projet architectural ou urbanistique cohérent, malheureusement certains enseignants n’apportent à l’étudiant que la confusion la plus totale et se plaisent à constater le désarroi qu’ils apportent à leurs élèves. Une autre pratique courante dans l’enseignement de l’architecture est l’obligation imposée à l’étudiant en architecture de justifier ses choix thématiques, conceptuels ou simplement architectoniques.

Cette attitude de l’enseignant opère un blocage systématique au génie de l’étudiant qui, bien souvent, abandonne des idées géniales à cause de la hantise de les justifier ; oui la fameuse phrase : «Pourquoi tu as choisi tel thème, telle forme…», non seulement bloque l’étudiant, mais est absurde en elle-même, car l’architecte est un artiste, et un artiste travaille souvent par inspiration et lorsque il crée une œuvre intéressante du point de vue harmonie, plasticité, fonction, intégration, personne n’a le droit de lui demander des justificatifs pour ses choix. Mais il faut apprendre à utiliser la question du «comment es-tu arrivé à ce résultat ?», et dans ce cas, l’architecte se sentira libre et confiant et pourra expliquer - oui car il s’agit d’expliquer et non pas de justifier - sa démarche et sa méthodologie.

Pour épiloguer sur le volet enseignement, il y a lieu de souligner que le bilan est loin d’être négatif, néanmoins des efforts restent à faire pour que l’enseignant se libère de quelques comportements vaniteux comme la fâcheuse tendance à chercher à impressionner l’élève au lieu de lui ramener un plus et le débloquer. Combien de fois n’a-t-on pas vu quelque membre de jury ne chercher dans son intervention qu’à étaler sa culture - ou confiture - non pas pour juger le travail exposé, mais pour montrer son niveau à l’honorable assistance. Production : en matière de production de l’architecture, il y a beaucoup à faire et à dire, et le premier volet concerne l’espace vert auquel on interdit le statut d’équipement à part entière. C’est un composant de l’urbanisme opérationnel qui ne peut qu’être partie prenante d’une opération d’aménagement, mais en aucun cas il ne fait l’objet des démarches administratives inhérentes aux autres équipements, à savoir fiche technique d’inscription, choix de terrain, concours d’architecture, appel d’offres pour la réalisation… On ne lui connaît même pas de tutelle désignée : il peut être du ressort de la DUC, de la direction de l’environnement, de la direction des forêts, du secrétariat d’Etat chargé de la ville…

Dans les villes d’Algérie, l’espace vert occupe un rang inférieur par rapport aux autres composants de la ville, quand bien même son intérêt pour l’individu et pour l’ensemble est reconnu et ne semble souffrir aucune équivoque. Mais si on revient à l’adage qui dit : «Dis-moi qui tu hantes je te dirai qui tu es», il est permis d’affirmer que l’espace vert ne hante personne, et par conséquent l’espace vert chez nous n’est pas tout simplement. Car si déjà l’action de composer l’espace vert est une tâche ardue, qu’en est-il de la banalisation de cet acte urbanistique à une simple plantation d’arbres et arbustes et dont l’entretien dans le temps n’est pas systématique. Aujourd’hui, il ne s’agit nullement d’activer la sonnette d’alarme, car des collègues l’ont déjà fait, néanmoins la réhabilitation de ces espaces importe à la salubrité… importe à la civilisation… importe à la vertu ... et qu’on ne vienne pas dire que telle personne physique ou morale est la cause de ceci ou cela, car il ne s’agit nullement dans ce contexte de jeter l’anathème sur quiconque, mais de ramener un plus dans un souci de construire et non pas de constater et d’accuser.

Pour clore le sujet relatif à l’espace vert, je demande à ce qu’il soit considéré comme un équipement à part entière et la meilleure tutelle que je lui trouve est la direction de l’urbanisme et de la construction. Un autre volet important de la production architecturale réside dans la réhabilitation des façades. L’Etat dépense beaucoup d’argent dans l’aménagement extérieur des cités, notamment les zones périphériques (lotissements et extensions) avec le fameux chapitre 721 de la DUC et l’opération «Combler le déficit en VRD des cités». Ce sont des opérations qui ont pour but d’améliorer le cadre de vie des cités.

Cependant, le résultat escompté à travers ces opérations n’apparaît pas, car on se retrouve avec des aménagements au sol très intéressants, mais les bâtiments offrent des façades très pauvres en matière d’expression architecturale et de composition formelle, ce qui donne un aspect terne et oppressif à nos lotissements où le pittoresque, qui est censé être le propre à ces cités, n’apparaît pas du tout plongé dans un désordre thématique qui frôle l’informel. Il faut donc créer des mécanismes pour lancer des opérations de «réhabilitation des façades» en piochant dans le concept de participation en urbanisme : c’est-à-dire impliquer les propriétaires dans cette opération et leur faire comprendre que la réhabilitation des façades est dans l’intérêt du propriétaire, lequel à travers cela verra la valeur foncière de sa construction aller crescendo ainsi que la valeur foncière de tout le quartier.

En matière de financement, il faudrait que l’Etat, ainsi que les propriétaires s’impliquent en partie. Donc, après avoir défini des plans de façade par des bureaux d’études en collaboration avec les services de l’APC et la DUC, on passe à la concrétisation dans des opérations de type «up grading» et si une opération sur une seule paroi de rue réussit, je suis sûr que cela fera tache d’huile et sera un véritable élément catalyseur pour toutes nos cités, notamment les lotissements. Le ministre de l’Habitat a beaucoup insisté dernièrement sur la nécessité de parfaire des études technico-urbanistiques de qualité.

En essayant d’analyser cette idée, je trouve personnellement qu’elle nous renvoie à repenser notre position par rapport à l’îlot. Il est impératif de retourner à l’îlot introverti ; lequel garantit en ce qui concerne l’habitat le passage tant escompté du niveau public au niveau privé avec une souplesse dans l’articulation des niveaux. L’îlot réservé à l’habitat doit être hermétiquement clos avec un contrôle spatial et fonctionnel de l’accès au cœur de celui-ci. L’organisation spatiale du bâti doit faire écran sur tous les côtés de l’îlot avec l’alignement des bâtiments et si nécessaire, combler les autres issues par des clôtures en dur, l’accès à l’intérieur de la cité, qu’il soit mécanique ou piéton, doit se faire par des portes et portails surveillés, s’il s’agit d’un étranger à la cité, on l’oriente directement vers la conciergerie pour connaître le motif de sa visite (familiale ou autre) et permettre son orientation, mais en aucun cas l’îlot n’est un espace de passage pour des tiers et à l’intérieur du cœur de l’îlot on retrouve les aires de stationnement, les aires de jeux pour enfants, etc.

En optant pour ces agencements, il s’agit tout simplement de rendre justice à un espace classé privé par excellence, au lieu de donner ce privilège aux équipements (on n’accède jamais sans motif au cœur de l’îlot destiné à un équipement) ; la vie à l’intérieur de l’îlot permettra grâce à cette introversion d’accomplir l’acte d’habiter dans son véritable sens sociologique : une appropriation de l’espace intérieur et extérieur et une identification et une codification de ces espaces. A noter que la conciergerie doit fonctionner jour et nuit et aura pour rôle de sauvegarder le patrimoine immobilier et de faire régner l’ordre dans la cité, ainsi les enfants eux-mêmes grandiront dans un milieu régi par l’autorité et l’ordre, ce qui sera sûrement bénéfique à leur éducation.

L’autre volet relatif à l’idée d’étude technico-urbanistique de qualité est la recherche d’expression de volumes et de façades de qualité avec une diversification des styles : dans ce volet il n’y pas lieu de s’étaler outre mesure, car le processus est enclenché et les différents maîtres d’ouvrage recherchent la qualité et ont laissé tomber le tout économique pour laisser place à la qualité, même si elle se paye. En effet, il y a volonté de créer des silhouettes et de donner existence à des objets de contemplation. Toutefois, le choix des styles doit être ouvert et en coexistence parfaite avec les architectures du terroir, il faut permettre aux autres styles de s’épanouir et de nous offrir des références architecturales mondiales pour laisser place à un éclectisme bénéfique au paysage urbain en matérialisant le principe de variation dans un thème.

Un autre sujet inévitable inhérent à la production de l’architecture est la ville. Cet objet sociologique rebelle ne semble obéir à aucun contrôle malgré toute l’armada de nos instruments de l’urbanisme. Les PDAU, POS, lotissements, aménagements… ne donnent pas de résultats spectaculaires sur le terrain et ne semblent pas pouvoir réguler l’image de la ville quand bien même cette ville est de petite grandeur. Le contenu des instruments de l’urbanisme devrait peut être connaître des améliorations, notamment en matière d’écologie urbaine et de méthodes d’analyse de lecture et de cadrage. Néanmoins et dans une attitude critique d’antithèse, on peut cibler le problème à l’effet caduc du règlement d’urbanisme émanant du PDAU et du POS.

En effet, ces règlements qui bénéficient de l’avis de tous les intervenants de la ville, de toutes les directions de wilaya et qui sont soumis pour avis à la population au niveau de la commune et qui se terminent par un arrêté du wali et qui deviennent opposables au tiers n’accèdent pas au rang de documents régissant l’urbanisme et ne sont pas systématiquement consultés. Il faudrait pour ordonner nos villes multiplier les instances de contrôle du bon fonctionnement de nos villes et impliquer les associations (de quartier notamment), tout en privilégiant les contacts directs entre habitants et gestionnaires dans des séminaires, journées d’études, expositions… Il faut absolument éviter l’émergence de ce qu’on appelle communément «les quartiers difficiles» qui sont le siège de colère et contestations en brisant le tabou d’établis et de marginaux en allant vers ces quartiers par les opérations d’aménagement de réhabilitation en privilégiant le dialogue avec les autorités morales de ces quartiers pour leur permettre une intégration rapide dans la ville.

Enfin, il faut souligner que nos villes souffrent de l’étalage urbain bien plus qu’autre chose. Mais dans toute cette histoire d’enseignement et de production, une lourde tâche incombe à l’architecte, car son rôle de régulateur, il doit le prendre en charge à part entière.Et l’administration doit comprendre que l’architecte est et demeure son meilleur conseiller pour aller de l’avant, pour concrétiser les objectifs tracés, pour donner un plus à la ville en matière de tissu urbain d’équilibre et de cohérence entre centre et périphéries. Sinon - et comme dirait un Breton célèbre - nous serons mal ; très mal avec l’architecture.
Nedjma Hichem (Architecte urbaniste Khenchela)

Source: El watan le 01/09/2011 , p. 19
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Message par faith Jeu 1 Sep 2011 - 22:28

merci sam_bio pour la publication de cet article qui parle du quotidien des etudiants, et ça relève vraiment la grande faille dans nos universités qui s'etalera aprés avec les futurs architectes, je pense que si les choses ne se prennent pas au sérieux et qui relève la volonté de tous, on finira par être des observateurs à d'autres phénomènes plus grave.
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Message par chahra Sam 4 Fév 2012 - 2:23

merci

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