Derniers sujets
Sujets similaires
freedom and justice to Palestine
ARCHITOUS HOUR
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 58 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 58 Invités :: 1 Moteur de rechercheAucun
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 136 le Dim 6 Oct 2024 - 6:37
la dualité: bonheur/malheur
« Lorsque le malheur touche l’homme il est plein d’impatience;et lorsque le bonheur l’atteint, il devient insolent.
bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur
On n'est jamais si malheureux qu'on croit ni si heureux qu'on avait espéré.
Le vrai bonheur coûte peu; s'il est cher, il n'est pas d'une bonne espèce.
Le langage classique de l'architecture
2 participants
Page 1 sur 1
Le langage classique de l'architecture
fiche lecture Le langage classique de l'architecture
L’auteur
John Summerson étudia à la Harrow School puis à l’University College de Londres. Il écrivit beaucoup à propos de l’architecture britannique, et plus particulièrement sur la période georgienne. Son livre « Architecture in Britain: 1530-1830 (1953) » est considéré comme un classique sur le sujet pour les étudiants et le public en général après sa mort. The Classical Language of Architecture (1963) est une introduction aux éléments stylistiques de l’architecture classique et en définit leurs utilisations et variations au cours des époques. Il écrivit aussi des livres aux sujets plus spécialisés, incluant des ouvrages sur Inigo Jones et le Londres georgien. Il rédigea aussi The Architecture of the Eighteenth Century (1986), où il décrit Étienne-Louis Boullée comme étant le point de départ comme l’un des plus audacieux innovateur du siècle – Claude Nicolas Ledoux – l'un des principaux créateurs du style néoclassique. Summerson fut aussi le conservateur du Sir John Soane's Museum à Londres de 1945 à 1984.
Présentation de l’ouvrage
Dans Le langage classique de l’architecture, John Summerson tente d’aborder les questions fondamentales du langage classique. C’est un ouvrage d’introduction à la discipline qui permet d’en avoir une vision globale. L’auteur développe son propos à travers six chapitres, qu’il complétera d’un glossaire et d’une liste d’ouvrages de référence.
Le livre se compose donc d’une suite de chapitres qui dissocient textes et images. La lecture n’est pas coupée d’illustrations, ce qui oblige parfois des allers retours incessants. Cependant ce choix sert l’argumentaire de Summerson, il peut ainsi dans un même paragraphe développer une argumentation riche de références et garder le fil directeur. Les illustrations sont classées par thèmes et elles sont accompagnées de notes indépendantes.
Cet ouvrage est très structuré, il procède par étapes et suites logiques. L’argumentaire prend un caractère chronologique plus par nécessité que par mode d’analyse. Ce qui guide Summerson ce n’est pas fondamentalement l’histoire du langage classique mais bien le contenu de ce langage classique.
Pour comprendre la grammaire et la signification du langage classique en architecture l’auteur fait le choix de traiter dans les deux premiers chapitres ce dont le lecteur aura absolument besoin pour comprendre et interpréter cette architecture. Ainsi ces chapitres : les fondements du classicisme et la grammaire de l’antiquité sont des bases indispensables pour le lecteur.
Summerson l’amène donc à découvrir ce langage en posant des questions fondamentales ; Quelle utilisation de ce langage dans l’histoire, pour quelle signification ? (La linguistique du XVIe siècle) Quelle rhétorique à travers les différents courants ? (La rhétorique du baroque)
Tout au long de ses explications, Summerson fera écho de cette architecture à travers tout l’occident et viendra évoquer son évolution et ses remises en questions (Les lumières de la raison et de l’archéologie). Enfin il tentera de comprendre ce langage, par la suite, dans l’architecture moderne notamment à travers le travail de Le Corbusier. Il fera l’aveu d’un langage classique déchu.
Le développement de l’argumentaire
Qu’est ce qui est classique et qu’est-ce qui ne l’est pas ? C’est par cette question que J.Summerson débute son ouvrage, il veut organiser son propos. Il définit un édifice classique comme tout édifice dont les éléments décoratifs provenant directement ou indirectement du vocabulaire architectural du monde antique. Il présente les différents éléments de ce vocabulaire : les cinq ordres. Dans ce premier chapitre il les décrit, explique leur symbolique notamment en s’appuyant sur les travaux de Serlio et de Vitruve, fondés sur l’observation des monuments antiques (Romains).
Comment utiliser ces ordres pour toutes sortes d’édifices ? Dans le deuxième chapitre « La grammaire de l’antiquité » Summerson fait l’inventaire habile des éléments utilisés par l’architecture classique. Et les met en lien avec différents types d’édifices qu’ils composent. Le Temple, l’Arc de Triomphe, le Panthéon sont pris en référence comme compositions classiques. Summerson nous explique que la combinaison des éléments classiques se fait selon des règles précises et qu’il existe une faible part à la création pure de nouveaux modèles. Créer c’est savoir manier les ordres.
J.Summerson s’écarte par la suite du fonctionnement grammatical de l’architecture classique pour concentrer son propos sur les réalisations des grands maîtres de l’architecture classique dont Bramante est à ses yeux celui qui, notamment à travers le Tempietto, rétablit le mieux le langage classique au XVIe siècle. Il établit des liens logiques entre les différents Maîtres tels que Michel-Ange, Raphaël, Jules Romain pour expliquer leurs différentes influences et leurs réalisations. Celui qui avant Bramante maîtrise cette grammaire (j’ai presque envie de dire science) est Palladio. Il évoque l’éloquence de ses réalisations et ce qu’il apportera par la suite à ce langage (écho dans toute l’Europe notamment en Angleterre). Ce chapitre est très important dans cet ouvrage car il apporte des réponses précises quant à l’utilisation de ce langage.
Dans cette démarche le quatrième chapitre, La rhétorique du baroque suit un argumentaire riche. Il évoque le double impact de Michel-Ange et de Jules Romain fondateurs du maniérisme qui trouve tout son sens dans le travail de Vignole.
Summerson s’attachera donc à expliciter certains édifices majeurs tels que l’église du Gésù et à comprendre les effets du maniérisme à long terme. Le Bernin et Borromini seront étudiés conjointement.
L’auteur fera comprendre au lecteur que le Baroque pur n’existe pas, que le baroque est presque toujours rhétorique. Enfin il illustre son propos en prenant pour modèle des édifices tels que St Pierre de Rome (Le Bernin), la colonnade du Louvre, et le Blenheim Palace. Cette rhétorique n’a qu’un but : persuader le peuple de la pertinence d’un message précis.
Le Propos de Summerson s’écarte par la suite du Classicisme italien pour évoquer le questionnement sur la véritable nature des ordres en France. Dans ce chapitre intitulé Les lumières de la raison… et de l’archéologie ce sont les fondements qui sont remis en question. Une nouvelle hypothèse, celle que l’architecture soit née lorsque l’homme primitif construisit une hutte primitive. Laugier devient une figure importante qui voudra rétablir la vérité structurelle et esthétique. A travers de nouvelles recherches archéologiques naît une renaissance Grecque qui débutât en Angleterre. C’est un sujet que Summerson maîtrise parfaitement en tant que spécialiste de Sir John Soane.
Ce qui est reposé c’est la question de ce langage.
C’est donc dans son dernier chapitre L’inspiration classique du moderne que Summerson tente de faire la transition entre architecture classique antique et architecture moderne en analysant les travaux de Ledoux ou de Cockerell ou Soane.
Ces architectures utilisent encore un langage classique clair, parfois maladroit, mais avec l’arrivée des progrès techniques en construction, ce langage va s’affaiblir.
Auguste Perret et par la suite Le Corbusier n’évoqueront ce langage seulement à travers des principes tels que les tracés régulateurs. Le Corbusier sera pour Summerson un des derniers architectes faisant référence à ce langage et il conclut en soulignant que la compréhension de ce langage restera certainement l’un des éléments les plus puissants de la pensée architecturale.
Conclusion
Le travail de Summerson est une véritable introduction à l’architecture classique et à son langage. Il déploie un vocabulaire simple et pertinent, il fait un travail de vulgarisation pour que tout lecteur puisse comprendre son ouvrage. Son argumentaire est construit autour de cette idée de langage, qui traverse le temps, qui n’appartient au final qu’à ceux qui le parlent. C’est une très belle synthèse de l’architecture classique qui questionne les différentes époques. Son ouvrage se veut clair et précis en couvrant tout le sujet.
Mon Avis
Enfin un ouvrage clair et précis sur ce fameux langage classique. Summerson a su créer chez moi un grand intérêt pour cette architecture.
Je n’ai cependant pas trouvé dans ce livre de liens directs avec la religion Chrétienne et la conception de l’homme dans le monde, ce qui me paraît aberrant. En effet c’est sur une vison religieuse de la beauté et de la perfection que se développent les édifices classiques. Le langage classique c’est l’ordre et l’ordre ce n’est pas la nature.
Cette séparation entre nature et religion (ce qui est de l’ordre de la pensée) est pour moi un élément crucial à comprendre pour apprécier le langage de l’architecture classique.
Cependant ce livre est extrêmement riche de références, il est indispensable de le lire. C’est un ouvrage qui restera dans ma bibliothèque et que je recommande
via:
http://www.nunesantoinefrederic.com/rubrique,le-langage-classique-de-l-arch,698110.html
L’auteur
John Summerson étudia à la Harrow School puis à l’University College de Londres. Il écrivit beaucoup à propos de l’architecture britannique, et plus particulièrement sur la période georgienne. Son livre « Architecture in Britain: 1530-1830 (1953) » est considéré comme un classique sur le sujet pour les étudiants et le public en général après sa mort. The Classical Language of Architecture (1963) est une introduction aux éléments stylistiques de l’architecture classique et en définit leurs utilisations et variations au cours des époques. Il écrivit aussi des livres aux sujets plus spécialisés, incluant des ouvrages sur Inigo Jones et le Londres georgien. Il rédigea aussi The Architecture of the Eighteenth Century (1986), où il décrit Étienne-Louis Boullée comme étant le point de départ comme l’un des plus audacieux innovateur du siècle – Claude Nicolas Ledoux – l'un des principaux créateurs du style néoclassique. Summerson fut aussi le conservateur du Sir John Soane's Museum à Londres de 1945 à 1984.
Présentation de l’ouvrage
Dans Le langage classique de l’architecture, John Summerson tente d’aborder les questions fondamentales du langage classique. C’est un ouvrage d’introduction à la discipline qui permet d’en avoir une vision globale. L’auteur développe son propos à travers six chapitres, qu’il complétera d’un glossaire et d’une liste d’ouvrages de référence.
Le livre se compose donc d’une suite de chapitres qui dissocient textes et images. La lecture n’est pas coupée d’illustrations, ce qui oblige parfois des allers retours incessants. Cependant ce choix sert l’argumentaire de Summerson, il peut ainsi dans un même paragraphe développer une argumentation riche de références et garder le fil directeur. Les illustrations sont classées par thèmes et elles sont accompagnées de notes indépendantes.
Cet ouvrage est très structuré, il procède par étapes et suites logiques. L’argumentaire prend un caractère chronologique plus par nécessité que par mode d’analyse. Ce qui guide Summerson ce n’est pas fondamentalement l’histoire du langage classique mais bien le contenu de ce langage classique.
Pour comprendre la grammaire et la signification du langage classique en architecture l’auteur fait le choix de traiter dans les deux premiers chapitres ce dont le lecteur aura absolument besoin pour comprendre et interpréter cette architecture. Ainsi ces chapitres : les fondements du classicisme et la grammaire de l’antiquité sont des bases indispensables pour le lecteur.
Summerson l’amène donc à découvrir ce langage en posant des questions fondamentales ; Quelle utilisation de ce langage dans l’histoire, pour quelle signification ? (La linguistique du XVIe siècle) Quelle rhétorique à travers les différents courants ? (La rhétorique du baroque)
Tout au long de ses explications, Summerson fera écho de cette architecture à travers tout l’occident et viendra évoquer son évolution et ses remises en questions (Les lumières de la raison et de l’archéologie). Enfin il tentera de comprendre ce langage, par la suite, dans l’architecture moderne notamment à travers le travail de Le Corbusier. Il fera l’aveu d’un langage classique déchu.
Le développement de l’argumentaire
Qu’est ce qui est classique et qu’est-ce qui ne l’est pas ? C’est par cette question que J.Summerson débute son ouvrage, il veut organiser son propos. Il définit un édifice classique comme tout édifice dont les éléments décoratifs provenant directement ou indirectement du vocabulaire architectural du monde antique. Il présente les différents éléments de ce vocabulaire : les cinq ordres. Dans ce premier chapitre il les décrit, explique leur symbolique notamment en s’appuyant sur les travaux de Serlio et de Vitruve, fondés sur l’observation des monuments antiques (Romains).
Comment utiliser ces ordres pour toutes sortes d’édifices ? Dans le deuxième chapitre « La grammaire de l’antiquité » Summerson fait l’inventaire habile des éléments utilisés par l’architecture classique. Et les met en lien avec différents types d’édifices qu’ils composent. Le Temple, l’Arc de Triomphe, le Panthéon sont pris en référence comme compositions classiques. Summerson nous explique que la combinaison des éléments classiques se fait selon des règles précises et qu’il existe une faible part à la création pure de nouveaux modèles. Créer c’est savoir manier les ordres.
J.Summerson s’écarte par la suite du fonctionnement grammatical de l’architecture classique pour concentrer son propos sur les réalisations des grands maîtres de l’architecture classique dont Bramante est à ses yeux celui qui, notamment à travers le Tempietto, rétablit le mieux le langage classique au XVIe siècle. Il établit des liens logiques entre les différents Maîtres tels que Michel-Ange, Raphaël, Jules Romain pour expliquer leurs différentes influences et leurs réalisations. Celui qui avant Bramante maîtrise cette grammaire (j’ai presque envie de dire science) est Palladio. Il évoque l’éloquence de ses réalisations et ce qu’il apportera par la suite à ce langage (écho dans toute l’Europe notamment en Angleterre). Ce chapitre est très important dans cet ouvrage car il apporte des réponses précises quant à l’utilisation de ce langage.
Dans cette démarche le quatrième chapitre, La rhétorique du baroque suit un argumentaire riche. Il évoque le double impact de Michel-Ange et de Jules Romain fondateurs du maniérisme qui trouve tout son sens dans le travail de Vignole.
Summerson s’attachera donc à expliciter certains édifices majeurs tels que l’église du Gésù et à comprendre les effets du maniérisme à long terme. Le Bernin et Borromini seront étudiés conjointement.
L’auteur fera comprendre au lecteur que le Baroque pur n’existe pas, que le baroque est presque toujours rhétorique. Enfin il illustre son propos en prenant pour modèle des édifices tels que St Pierre de Rome (Le Bernin), la colonnade du Louvre, et le Blenheim Palace. Cette rhétorique n’a qu’un but : persuader le peuple de la pertinence d’un message précis.
Le Propos de Summerson s’écarte par la suite du Classicisme italien pour évoquer le questionnement sur la véritable nature des ordres en France. Dans ce chapitre intitulé Les lumières de la raison… et de l’archéologie ce sont les fondements qui sont remis en question. Une nouvelle hypothèse, celle que l’architecture soit née lorsque l’homme primitif construisit une hutte primitive. Laugier devient une figure importante qui voudra rétablir la vérité structurelle et esthétique. A travers de nouvelles recherches archéologiques naît une renaissance Grecque qui débutât en Angleterre. C’est un sujet que Summerson maîtrise parfaitement en tant que spécialiste de Sir John Soane.
Ce qui est reposé c’est la question de ce langage.
C’est donc dans son dernier chapitre L’inspiration classique du moderne que Summerson tente de faire la transition entre architecture classique antique et architecture moderne en analysant les travaux de Ledoux ou de Cockerell ou Soane.
Ces architectures utilisent encore un langage classique clair, parfois maladroit, mais avec l’arrivée des progrès techniques en construction, ce langage va s’affaiblir.
Auguste Perret et par la suite Le Corbusier n’évoqueront ce langage seulement à travers des principes tels que les tracés régulateurs. Le Corbusier sera pour Summerson un des derniers architectes faisant référence à ce langage et il conclut en soulignant que la compréhension de ce langage restera certainement l’un des éléments les plus puissants de la pensée architecturale.
Conclusion
Le travail de Summerson est une véritable introduction à l’architecture classique et à son langage. Il déploie un vocabulaire simple et pertinent, il fait un travail de vulgarisation pour que tout lecteur puisse comprendre son ouvrage. Son argumentaire est construit autour de cette idée de langage, qui traverse le temps, qui n’appartient au final qu’à ceux qui le parlent. C’est une très belle synthèse de l’architecture classique qui questionne les différentes époques. Son ouvrage se veut clair et précis en couvrant tout le sujet.
Mon Avis
Enfin un ouvrage clair et précis sur ce fameux langage classique. Summerson a su créer chez moi un grand intérêt pour cette architecture.
Je n’ai cependant pas trouvé dans ce livre de liens directs avec la religion Chrétienne et la conception de l’homme dans le monde, ce qui me paraît aberrant. En effet c’est sur une vison religieuse de la beauté et de la perfection que se développent les édifices classiques. Le langage classique c’est l’ordre et l’ordre ce n’est pas la nature.
Cette séparation entre nature et religion (ce qui est de l’ordre de la pensée) est pour moi un élément crucial à comprendre pour apprécier le langage de l’architecture classique.
Cependant ce livre est extrêmement riche de références, il est indispensable de le lire. C’est un ouvrage qui restera dans ma bibliothèque et que je recommande
via:
http://www.nunesantoinefrederic.com/rubrique,le-langage-classique-de-l-arch,698110.html
sahli amira- Messages : 24
Points : 49
Réputation : 1
Age : 37
Localisation : el eulma
Emploi/loisirs : architecte
chahra- Messages : 684
Points : 701
Réputation : 6
Age : 51
Localisation : Alger
Emploi/loisirs : Architecte
Sujets similaires
» PG et disparition du système classique!!!
» Ordre architectural classique
» c'est fini pour le mur classique ..
» Ordre architectural classique
» c'est fini pour le mur classique ..
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mar 9 Nov 2021 - 23:24 par Meriem Archi
» Jeux de lumières
Sam 30 Mai 2020 - 21:53 par archi
» MEMOIRE TECHNIQUE
Sam 15 Juin 2019 - 15:21 par saider
» Pourquoi s’installer en périurbain ?
Lun 24 Sep 2018 - 22:59 par messarchi
» urgent !!!!!!!!!!inscription plateforme en ligne du doctora
Lun 24 Sep 2018 - 22:12 par Meriem Archi
» exempls de Memoires M2 pour systeme classique intégré EN M2
Ven 22 Déc 2017 - 13:34 par Meriem Archi
» Besoin de la carte d'état major de la ville Blida en fichier numérique
Ven 27 Oct 2017 - 13:01 par lily
» sujet concours de doctorat
Lun 23 Oct 2017 - 22:37 par archi
» master2 annaba
Jeu 19 Oct 2017 - 12:02 par tamime
» service 3d
Jeu 31 Aoû 2017 - 12:42 par nuno abdenour
» PUD de la ville d'ORAN
Sam 10 Juin 2017 - 18:38 par linaarchi
» Les cours Projet urbain CVP
Sam 15 Oct 2016 - 15:37 par imen
» urgent !!!!
Mer 12 Oct 2016 - 15:17 par nuno abdenour