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la dualité: bonheur/malheur
« Lorsque le malheur touche l’homme il est plein d’impatience;et lorsque le bonheur l’atteint, il devient insolent.
bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur
On n'est jamais si malheureux qu'on croit ni si heureux qu'on avait espéré.
Le vrai bonheur coûte peu; s'il est cher, il n'est pas d'une bonne espèce.
Cours N°03 Patrimonialisation des centres historiques
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ArchiTous :: DOSSIER :: PATRIMOINE
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Cours N°03 Patrimonialisation des centres historiques
CHAPITRE II : Valorisation du patrimoine et renouvellement urbain :
Enjeux et Limites
I. Le processus de Patrimonialisation :
La patrimonialisation peut être définie comme un processus de réinvestissement, de revalorisation d’espaces désaffectés (Norois, 2000). Ce qui est en jeu, c’est la construction d’une ressource. Pour résumer ce processus de construction de ressources, nous pouvons nous inspirer de la distinction opérée par M. Gravari-Barbas entre fonction légitimante, fonction identitaire et fonction valorisante du patrimoine (Gravari-Barbas, 1997). Ces trois fonctions, qu’il faut penser dans la dimension spatiale, correspondent à différentes sphères d’activité.
La fonction identitaire renvoie au lien social, au capital social, à la distinction que permet l’appropriation collective du patrimoine.
La fonction valorisante renvoie aux retombées économiques (tourisme, valorisation immobilière...), au renchérissement du foncier et donc aux logiques de gentrification.
La fonction légitimante renvoie aux capacités d’intervention dans la sphère publique,d’infléchissement de l’aménagement de l’espace que donne la maîtrise d’un patrimoine et le prestige qui y est associé.
Pour qu’un héritage soit patrimonialisé, il faut nécessairement un événement
déclencheur qui remette en cause son usage antérieur et/ou sa conservation : arrêt d’une activité, changement de propriétaire, projet de démolition... Apparaissent alors des points de vue différents sur le traitement de cet héritage et des intérêts contradictoires quant à l’usage de cet espace. Si le contexte social et culturel est favorable au processus de patrimonialisation,celui-ci ne va jamais de soi et suscite des contradictions fortes quant à l’usage des espaces concernés. Par exemple, la densification des espaces urbains dans une logique de développement durable peut entrer en contradiction avec la conservation de certains héritages architecturaux (Veschambre, 2006). Sans parler de la pression foncière qui s’intensifie et qui pousse à des démolitions-reconstructions économiquement rentables.
Le processus de patrimonialisation est fréquemment associé à des formes de
mobilisation voire de conflictualité (Gravari-Barbas, Veschambre, 2003). Si la notion de patrimoine est associée à l’idée de « bien commun », la construction de celui-ci est rarement consensuelle mais portée par certains groupes en particulier, qui cherchent à faire valoir un point de vue, un intérêt particulier. C’est ainsi que la reconnaissance de nombreux témoins du passé industrialo-portuaire nantais a été rendue possible par la mobilisation, à la fin des années 1980, d’anciens ouvriers, d’universitaires et de spécialistes du patrimoine.
Ces formes de patrimonialisation, qui peuvent passer par des phases de conflits ouverts, sont particulièrement révélatrices de l’évolution des perceptions et des conceptions en matière de patrimoine.
II. La valorisation du patrimoine : ressources et formes de capitaux
Le patrimoine est incontestablement devenu un levier pour faire du collectif, pour faire ensemble, comme en témoigne la dynamique associative qui se développe depuis le début des années 1980 (Glevarec, Saez, 2002). Mais si l’on assiste à de telles mobilisations, c’est qu’il y a un certain nombre d’enjeux à pouvoir construire du patrimoine, à se l’approprier et à bénéficier de ses retombées. Pour bien saisir ces enjeux et dépasser le discours idéologique sur le « bien commun » (Ripoll, Veschambre, 2002), il est intéressant de rapprocher les deux acceptions du terme patrimoine, la plus classique, qui évoque les richesses accumulées et transmises au sein des familles, et la plus récente, qui désigne par analogie les héritages culturels collectifs transmis entre les générations, au sein d’un même groupe, d’une même société, voire de l’humanité toute entière.
Pour qu’il y ait patrimonialisation, il ne suffit généralement pas que l’héritage ciblé ait acquis du sens pour un groupe, une collectivité et qu’il y ait une légitimation « scientifique »par les spécialistes du patrimoine : il faut également que l’objet patrimonial puisse acquérir une valeur économique. Le moteur de la patrimonialisation est bien souvent la (re)valorisation d’emprises désaffectées et leur transformation en ressource économique. Si « le patrimoine architectural est (...) ce qui donne valeur à un lieu », c’est au sens de valeur à la fois symbolique et économique (Bourdin, 1992, p. 21). Le patrimoine représente ainsi une forme de capital économique (Graham, 2002).
Par ailleurs, toute forme d’engagement patrimonial, permet d’acquérir une forme de capital culturel. L’identification au patrimoine confère dans le même temps un certain prestige, car le patrimoine, c’est aussi du capital symbolique. Le patrimoine permet également de développer un capital social.
Il n’y a pas de cloisons étanches entre ces différentes sortes de capitaux mais au contraire une circulation : on pourrait dire qu’avec le patrimoine, « l’économique devient culturel, la culture est relation et le tout engendre du symbolique » (Pinçon, Pinçon-Charlot, 2005).
Mais si ce processus de valorisation économique, symbolique, sociale... est inhérent à toute forme de patrimonialisation, toutes les revendications patrimoniales n’aboutissent pas et tous les patrimoines reconnus ne se valent pas.
III. Renouvellement des Centres historiques et anciens face au phénomène de « gentrification »
Dans son acception première, proposée au début des années 1960 par la géographe anglaise Ruth Glass (1963), la gentrification désigne le processus à travers lequel des ménages appartenant aux couches moyennes et supérieures s’installent dans des vieux quartiers populaires situés en centre-ville, réhabilitent l’habitat vétuste et dégradé et remplacent progressivement les anciens habitants. Au fil du temps, et singulièrement au cours de ces dernières années, cette définition a été élargie à d’autres processus de « revitalisation » des centres urbains dégradés et d’« élitisation » des villes, à d’autres espaces (à des espaces publics, à des espaces commerciaux, à des espaces résidentiels plus péricentraux) et, aussi, à de nouvelles catégories de populations (aux « salariés de la société de service », aux « hyper cadres de la mondialisation», aux « élites urbaines circulantes et globalisées »).
Ainsi, dans la littérature savante, la notion de gentrification désigne aujourd’hui aussi bien des processus de renouvellement social et de transformation du bâti observables à l’échelle d’un quartier que des politiques mises en oeuvre par certaines villes pour attirer en leur centre les élites de la « classe créative » (Florida, 2002), dans un triple contexte de restructuration des économies capitalistes, de concurrence inter-villes et de diffusion des nouvelles théories du développement économique local, en recourant parfois pour cela à des opérations de constructions neuves – auxquelles fait référence l’expression récente de newbuild gentrification 3.
Les phénomènes de gentrification à l’oeuvre dans les villes anglo-saxonnes, et notamment dans les villes nord américaines, et les phénomènes de gentrification à l’oeuvre dans les villes françaises. Certes, dans les premières, la gentrification apparaît souvent fortement liée aux politiques de « régénération urbaine » mises en oeuvre par les autorités municipales pour attirer « les élites circulantes et globalisées » de la nouvelle économie capitaliste et prend fréquemment la forme d’opérations de constructions neuves dans des centres-villes qui jusqu’alors étaient assez peu habités. En revanche, dans les villes françaises,en partie parce que leur centre était davantage habité, la gentrification se présente plus couramment comme le produit de processus plus ou moins « spontanés » de renouvellement social et de transformation du bâti existant. Mais on peut aussi observer dans des villes françaises des « politiques de gentrification » et, inversement, observer également des phénomènes « épars » de gentrification dans des villes nord-américaines.
Plus largement, la gentrification est bien souvent conjointement le fait d’acteurs institutionnels (privés et publics) et le fait de fractions très diverses des couches moyennes et supérieures, le produit de réhabilitations progressives de l’habitat existant et le produit d’opérations plus radicales de rénovation urbaine, à l’exemple de ce qu’observe Anne Clerval dans les anciens faubourgs populaires de Paris.
Le renouvellement urbain désigne aussi le phénomène de requalification de quartiers existants sans avoir recours pour autant à la démolition. On parle alors de réhabilitation et/ou de revalorisation des centres anciens.
Les années 1970 se sont accompagnées d’une prise de conscience politique de la valeur des quartiers historiques. Ainsi la requalification des centre-ville représente un enjeu majeur de transformation d’une image qui pourrait étre défavorable de toute la ville surnommée et ainsi lui faire retrouver son attractivité.
Face au risque de gentrification important, les interventions devront permettre des objectifs de réinsertion sociale dans le but d’une mixité, au moyen de subventions définies par les collectivités publiques et l’État.
Enjeux et Limites
II.1 La patrimonialisation des centres historiq
uesI. Le processus de Patrimonialisation :
La patrimonialisation peut être définie comme un processus de réinvestissement, de revalorisation d’espaces désaffectés (Norois, 2000). Ce qui est en jeu, c’est la construction d’une ressource. Pour résumer ce processus de construction de ressources, nous pouvons nous inspirer de la distinction opérée par M. Gravari-Barbas entre fonction légitimante, fonction identitaire et fonction valorisante du patrimoine (Gravari-Barbas, 1997). Ces trois fonctions, qu’il faut penser dans la dimension spatiale, correspondent à différentes sphères d’activité.
La fonction identitaire renvoie au lien social, au capital social, à la distinction que permet l’appropriation collective du patrimoine.
La fonction valorisante renvoie aux retombées économiques (tourisme, valorisation immobilière...), au renchérissement du foncier et donc aux logiques de gentrification.
La fonction légitimante renvoie aux capacités d’intervention dans la sphère publique,d’infléchissement de l’aménagement de l’espace que donne la maîtrise d’un patrimoine et le prestige qui y est associé.
Pour qu’un héritage soit patrimonialisé, il faut nécessairement un événement
déclencheur qui remette en cause son usage antérieur et/ou sa conservation : arrêt d’une activité, changement de propriétaire, projet de démolition... Apparaissent alors des points de vue différents sur le traitement de cet héritage et des intérêts contradictoires quant à l’usage de cet espace. Si le contexte social et culturel est favorable au processus de patrimonialisation,celui-ci ne va jamais de soi et suscite des contradictions fortes quant à l’usage des espaces concernés. Par exemple, la densification des espaces urbains dans une logique de développement durable peut entrer en contradiction avec la conservation de certains héritages architecturaux (Veschambre, 2006). Sans parler de la pression foncière qui s’intensifie et qui pousse à des démolitions-reconstructions économiquement rentables.
Le processus de patrimonialisation est fréquemment associé à des formes de
mobilisation voire de conflictualité (Gravari-Barbas, Veschambre, 2003). Si la notion de patrimoine est associée à l’idée de « bien commun », la construction de celui-ci est rarement consensuelle mais portée par certains groupes en particulier, qui cherchent à faire valoir un point de vue, un intérêt particulier. C’est ainsi que la reconnaissance de nombreux témoins du passé industrialo-portuaire nantais a été rendue possible par la mobilisation, à la fin des années 1980, d’anciens ouvriers, d’universitaires et de spécialistes du patrimoine.
Ces formes de patrimonialisation, qui peuvent passer par des phases de conflits ouverts, sont particulièrement révélatrices de l’évolution des perceptions et des conceptions en matière de patrimoine.
II. La valorisation du patrimoine : ressources et formes de capitaux
Le patrimoine est incontestablement devenu un levier pour faire du collectif, pour faire ensemble, comme en témoigne la dynamique associative qui se développe depuis le début des années 1980 (Glevarec, Saez, 2002). Mais si l’on assiste à de telles mobilisations, c’est qu’il y a un certain nombre d’enjeux à pouvoir construire du patrimoine, à se l’approprier et à bénéficier de ses retombées. Pour bien saisir ces enjeux et dépasser le discours idéologique sur le « bien commun » (Ripoll, Veschambre, 2002), il est intéressant de rapprocher les deux acceptions du terme patrimoine, la plus classique, qui évoque les richesses accumulées et transmises au sein des familles, et la plus récente, qui désigne par analogie les héritages culturels collectifs transmis entre les générations, au sein d’un même groupe, d’une même société, voire de l’humanité toute entière.
Pour qu’il y ait patrimonialisation, il ne suffit généralement pas que l’héritage ciblé ait acquis du sens pour un groupe, une collectivité et qu’il y ait une légitimation « scientifique »par les spécialistes du patrimoine : il faut également que l’objet patrimonial puisse acquérir une valeur économique. Le moteur de la patrimonialisation est bien souvent la (re)valorisation d’emprises désaffectées et leur transformation en ressource économique. Si « le patrimoine architectural est (...) ce qui donne valeur à un lieu », c’est au sens de valeur à la fois symbolique et économique (Bourdin, 1992, p. 21). Le patrimoine représente ainsi une forme de capital économique (Graham, 2002).
Par ailleurs, toute forme d’engagement patrimonial, permet d’acquérir une forme de capital culturel. L’identification au patrimoine confère dans le même temps un certain prestige, car le patrimoine, c’est aussi du capital symbolique. Le patrimoine permet également de développer un capital social.
Il n’y a pas de cloisons étanches entre ces différentes sortes de capitaux mais au contraire une circulation : on pourrait dire qu’avec le patrimoine, « l’économique devient culturel, la culture est relation et le tout engendre du symbolique » (Pinçon, Pinçon-Charlot, 2005).
Mais si ce processus de valorisation économique, symbolique, sociale... est inhérent à toute forme de patrimonialisation, toutes les revendications patrimoniales n’aboutissent pas et tous les patrimoines reconnus ne se valent pas.
III. Renouvellement des Centres historiques et anciens face au phénomène de « gentrification »
Dans son acception première, proposée au début des années 1960 par la géographe anglaise Ruth Glass (1963), la gentrification désigne le processus à travers lequel des ménages appartenant aux couches moyennes et supérieures s’installent dans des vieux quartiers populaires situés en centre-ville, réhabilitent l’habitat vétuste et dégradé et remplacent progressivement les anciens habitants. Au fil du temps, et singulièrement au cours de ces dernières années, cette définition a été élargie à d’autres processus de « revitalisation » des centres urbains dégradés et d’« élitisation » des villes, à d’autres espaces (à des espaces publics, à des espaces commerciaux, à des espaces résidentiels plus péricentraux) et, aussi, à de nouvelles catégories de populations (aux « salariés de la société de service », aux « hyper cadres de la mondialisation», aux « élites urbaines circulantes et globalisées »).
Ainsi, dans la littérature savante, la notion de gentrification désigne aujourd’hui aussi bien des processus de renouvellement social et de transformation du bâti observables à l’échelle d’un quartier que des politiques mises en oeuvre par certaines villes pour attirer en leur centre les élites de la « classe créative » (Florida, 2002), dans un triple contexte de restructuration des économies capitalistes, de concurrence inter-villes et de diffusion des nouvelles théories du développement économique local, en recourant parfois pour cela à des opérations de constructions neuves – auxquelles fait référence l’expression récente de newbuild gentrification 3.
Les phénomènes de gentrification à l’oeuvre dans les villes anglo-saxonnes, et notamment dans les villes nord américaines, et les phénomènes de gentrification à l’oeuvre dans les villes françaises. Certes, dans les premières, la gentrification apparaît souvent fortement liée aux politiques de « régénération urbaine » mises en oeuvre par les autorités municipales pour attirer « les élites circulantes et globalisées » de la nouvelle économie capitaliste et prend fréquemment la forme d’opérations de constructions neuves dans des centres-villes qui jusqu’alors étaient assez peu habités. En revanche, dans les villes françaises,en partie parce que leur centre était davantage habité, la gentrification se présente plus couramment comme le produit de processus plus ou moins « spontanés » de renouvellement social et de transformation du bâti existant. Mais on peut aussi observer dans des villes françaises des « politiques de gentrification » et, inversement, observer également des phénomènes « épars » de gentrification dans des villes nord-américaines.
Plus largement, la gentrification est bien souvent conjointement le fait d’acteurs institutionnels (privés et publics) et le fait de fractions très diverses des couches moyennes et supérieures, le produit de réhabilitations progressives de l’habitat existant et le produit d’opérations plus radicales de rénovation urbaine, à l’exemple de ce qu’observe Anne Clerval dans les anciens faubourgs populaires de Paris.
Le renouvellement urbain désigne aussi le phénomène de requalification de quartiers existants sans avoir recours pour autant à la démolition. On parle alors de réhabilitation et/ou de revalorisation des centres anciens.
Les années 1970 se sont accompagnées d’une prise de conscience politique de la valeur des quartiers historiques. Ainsi la requalification des centre-ville représente un enjeu majeur de transformation d’une image qui pourrait étre défavorable de toute la ville surnommée et ainsi lui faire retrouver son attractivité.
Face au risque de gentrification important, les interventions devront permettre des objectifs de réinsertion sociale dans le but d’une mixité, au moyen de subventions définies par les collectivités publiques et l’État.
nadourbain- Messages : 42
Points : 110
Réputation : 4
Age : 40
Localisation : tebessa
Emploi/loisirs : urbaniste
Re: Cours N°03 Patrimonialisation des centres historiques
Tout d'abord , je tiens à te remercier nadourbain pour tous ces cours !!! ensuite j'aimerai te demander si tu peux nous donner tes sources stp ?
hilarymoon- Messages : 171
Points : 218
Réputation : 11
Age : 35
Localisation : Algérie
Emploi/loisirs : Architecte
Re: Cours N°03 Patrimonialisation des centres historiques
Merci bien "nadourbain"pour ces cours.sont vraiment intéressants.juste si tu peux de partager les deux premiers cours.merci saha ftork
Archi-ham- Messages : 11
Points : 15
Réputation : 0
Age : 36
Localisation : Algerie
Emploi/loisirs : Architecte
Re: Cours N°03 Patrimonialisation des centres historiques
MERCI YATTIK SAHA
chahra- Messages : 684
Points : 701
Réputation : 6
Age : 51
Localisation : Alger
Emploi/loisirs : Architecte
Re: Cours N°03 Patrimonialisation des centres historiques
merci jazaki allahou kol khayr , rabi ywafkek inchallah
Ima41- Messages : 45
Points : 59
Réputation : 0
Age : 38
Localisation : Souk ahras
Emploi/loisirs : Architecte
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