Structure des villes

C'est un document sur les structures de villes j'espère que ça va vous aidé. bonne lecture

STRUCTURES URBAINES DES VILLES INFLUENCE DES VILLES IDEALES ET FORMES DE L'ARCHITECTURE

La configuration de tissu urbain, aux formes et aux structures diverses, telles que bande, étoile, réseau, galaxie, fait l'objet de l'étude qui va suivre.
On peut distinguer entre trois principes de croissance
- croissance par reproduction, création de nouvelles villes à taille définie, grandeur optima, tissu discontinu ;
- croissance par extension, multiplication étendue, tissu continu.
Ces deux principes peuvent être combinés dans la mesure où la nou¬velle unité urbaine est conçue pour évoluer et former une symbiose avec le tissu de la ville mère.
- croissance par densification de la ville existante, c'est-à-dire d'augmenter la capacité par multiplication de volumes, une ville compacte.
En fait, les trois principes énumérés ci-dessus jouent ensemble un rôle important, mais il serait bon de les distinguer les uns des autres.
On peut estimer que la conception dynamique de l'évolution, tenant compte de la notion du temps, c'est-à-dire "la quatrième dimension" est le point capital de notre jugement de l'évolution urbaine. Ceci amène a croire que les grandeurs optima peuvent être envisagées seulement à la petite échelle ou cette unité ferait partie d'un ensemble plus grand, comparable à la cellule d'un tissu vivant. En principe nos villes sont des organismes en croissance. C'est la structure de cette croissance qu'il faudrait comprendre.
De nos jours les villes idéales sont florissantes. Il est intéres¬sant de constater que les idées sont toutes préoccupées de "la ville totale", ville de densité extrême formant des espaces superposés en configurations complexes.
Les villes utopiques sont intéressantes dans la mesure ou elles poussent notre esprit a voir la ville réelle dans un contexte plus sage et plus imaginatif, et au cas ou elles tendent a créer une science de l'urbanisme. Quelles parties du message sont pratiquement valables ?
On pourrait citer d'autres auteurs de "cites futures", tels que les japonais, KENZO TANGE, ISOZAKI, KUROKAWA, ou les français FRIEDMAN, JONAS, MAYMONT, BIRO-FERNIER.







Il convient de remarquer que la' ou l'architecture totale touche l'art urbain, l'architecte interprète les demandes, (ou désirs non exprimés) des individus, ou des collectivités. Les architectes doués peuvent ici dimensionner l’espace de l'homme dans un ensemble urbain en véritables metteurs en scène.

Il sera donc important pour l'urbaniste d'être à la fois l’organisateur des agglomérations sous l'optique scientifique et pluridisciplinaire, et en même temps ne pas perdre de vue le "feed-back" des expériences que lui apporte les architectes.

LES DIFFÉRENTS STRUCTURES URBAINES DE VILLES
Lorsque l’on parle d’une ville, la première chose évoquée est son plan, car il est l’expression d’une «géométrie constructive » qui à pour corollaires deux notions :
Celle de phases successives de la réalisation.
Celle d’une organisation de formes.
Le plan est en toutes circonstances, une figuration de la ville, de sa personnalité. Il est aussi une vue de l’organisation des fonctions urbaines à un instant donné, de ses contraintes, de ses potentialités, un compte rendu des reprises, rénovations, adaptations (mises à jour) qui ont à chaque époque plus ou moins effacé le passé : les projets avortés, réalisés partiellement entrent dans la composition urbaine, car les successeurs ont dû les accepter comme étant parties du site.

A partir de la on peut dire que le plan est l’un des éléments qui définissent l’identité de la ville. On peut trouver des ressemblances entre eux mais chacun à ses spécificité ce qui le rend unique en son genre.
Ces spécificité sont dues à la topographie du terrain qui impose un type de plan particulier à chaque ville, en plus de cela l’homme à parfois ignoré le cadre naturel on voulant imposer une forme de plan précise. Les plans qui nous apparaissent comme étant les plus importants sont :
I- LE PLAN CIRCULAIRE OU ELLIPTIQUE
Pour ce type de plans on distingue plusieurs variantes parmi lesquelles on choisi :
1-1 Le plan radio-concentrique
C’est le plan le plus répandu parmi les vielles villes datant du moyens - âge. Toutes ville est plus ou moins le centre d’un réseau étoilé de voies se dirigeant dans les principales directions à partir d’un noyau central. Si sa croissance a été lente entourée d’enceintes successives qui déclassées et démolies les unes après les autres ont donné des boulevards circulaire.
1-2 le plan semi radio-concentrique ou en demi- cercle
Il ne constitue au fond qu’une variante du précédent. On le trouve sur un littoral, sur la rive d’un fleuve ou en bordure d’une forêt comme dans les villes qui se sont développées autour d’un centre occupé par le château ou le palais royal.
II- LE PLAN ORTHOGONAL
Le plus connus est issu de la disposition des camps militaires Romains, c’est aussi le plan de la ville chinoise. Les Etats Unis en présentent un exemple systématique parce qu’il à été pratiquement imposé par la loi. Avec de grands axes se recoupant perpendiculairement il est presque toujours associé à une trame en damier, parfois deux damiers d’orientations différentes sont accolés de part et d’autre d’une grande voie.
LE PLAN A GEOMETRIE COMPLEXE.
Est caractérisé par des voies plus ou moins courbes ou circulaires, en ovale ou en croissant. Ces plans résultent d’une recherche urbanistique, en tenant compte de deux facteurs essentiels et qui sont :
L’ESTHETIQUE
C’est le premier facteur qui c’est imposé car l’urbaniste avec ça, à voulu mettre en valeur un réseau de rues et de places harmonieusement disposées et dégageant les grands monuments et leurs perspectives de manière plus ou moins sophistiquée.
Exemple : plan de PARIS
LA FONCTIONALITE
Ce deuxième facteur c’est imposé plus tard, avec le développement de la circulation et des émeutes puis des révolutions à cadre urbain.

Exemple de CONSTANTINE
Actuellement tous les types de plans sont utilisés : les rectangulaires, radio-concentriques, les orientations sur axes ou en étoile, les labyrinthes pour dissuader la circulation dans les lotissements. Ils répondent souvent à la volonté d’avoir plusieurs centre et une ville à faible densité.
Exemple Brasilia
Les riches doivent vivre plus simplement pour que les pauvres puissent simplement vivre

CONCEPTS ET DEFINITIONS
Les précisions qui nous présentons servent à clarifier le vocabulaire de la notion de structures urbaines. Le but de ces définitions est d'esquisser la vie urbaine comme une vie de cellules vivantes. En fait, l'urbanisation suit les traces des activités de l'homme.
La société humaine prit naissance dans les groupements nomades qui bientôt formèrent des communautés sédentaires. On passa ensuite par les agglomérations de communautés rurales et urbaines qui formèrent des villes de plus en plus complexes.
L'échelle de la ville était basée sur l'homme à pied et à cheval, et sa structure viaire était peu différenciée. Avec le chemin de fer, l'agglomération s'étend le long de ces voies, et le tramway urbain permet la création des unités secon¬daires, groupements semi-autonomes du coeur urbain. L'âge de l'automobile nous donna la banlieue éparpillée et le désir de l'habitation individuelle détachée du milieu urbain.
A ce moment, et avec les activités industrielles, la ville éclate sur la campagne et elle se "désurbanise". La métropole compte alors environ un million d'habitant elle est en croissance continue, ses fonctions dispersées en zonages "par la force des choses". La mégalopole englobera plus tard d'autres villes et formera une sorte d'état dans l'état. C'est le commencement d'une nouvelle ère.
Nous constatons que la notion même de "ville" est troublée, car nous sommes sur le seuil d'une échelle où ce terme perd sa signification traditionnelle.
Néanmoins, on peut admettre que "ville" est l'unité urbaine qui possède un seul coeur, un centre dont les citadins ont pris conscience. Ainsi la notion de ville n'est pas définie par sa surface ou son nombre d'habitants.(Erik Anker, 1965)

Nous constatons que le terme de "métropole" implique une agglomération à partir d'env un million avec noyau principal et noyaux secondaires formant une hiérarchie de c d'attraction. La "mégalopole" comporte plusieurs noyaux équivalents.

Dans une image théorique de la ville, trois notions principales sont à considérer la structure viaire, la grandeur et la forme.

- La structure viaire peut prendre des configurations diverses ramifiée comme 1 lignes d'une feuille, en anneau, en bande, radio-concentrique ou en échiquier.

- La dimension est liée à l'étendue, à la densité et à l'intensité de la vie urb et en rapport avec la hiérarchie des villes de la région.

Ces trois aspects s'influencent les uns les autres, et sont très variables. Dans cas, on doit chercher à comprendre la physiologie de la ville, son caractère.

La ville dynamique est un conglomérat de diverses pièces, souvent contradictoires En effet, on ne trouve une hiérarchie définie et une croissance harmonieuse que d les petites villes rurales où la démographie et l'économie sont stables.

En ce qui concerne la voirie et l'évolution des distributions, les principes d'ac et de répartition sont structurants. Chaque époque a apporté ses traces sur le vi urbain qui, trop souvent hélas, est défiguré.

Les dessertes de communication étaient historiquement spontanées, tandis que de n jours, elles résultent de choix politico-stratégiques.

Nous avons déjà vu que la croissance urbaine est impérative, et qu1elle pose c blêmes qui nous tourmentent. L'introduction a évoqué les notions de croissance et croissance continue. qui peut être distinguée en trois principes importants
- croissance radioconcentrique (anneaux successifs)
- croissance linéaire (bande dirigée)
- croissance cellulaire (éléments répétitifs en tissu continu)

Ces types de croissance seront examinés par la suite du mémoire. En général, 1 croissance exprime l'échelon de maturité de la ville par rapport à sa région.

Analogue, mais différente quand même, est la notion d1extension, à une échelle petite, et qui exprime une volonté plus dirigée, un élément dans la croissance rale. Ces extensions peuvent être structurées de façon très différente dont la des croquis donne des exemples. Le jugement des principes à adopter porte sur type de croissance dans laquelle l'extension s'inscrit. Aussi faut-il tenir co considérations sociales, fonctionnelles, topographiques, transports etc ... Si conçoit une extension type linéaire, par exemple, la solution porterait à crée réseaux de transport en commun; les seuils économiques doivent être appréciés chaque cas.

merci mouna c'est tres interessant .....
mais dis moi de quelle ouvrage ces figures ...
psq architecture allégorique m'attiré.....

c'est à partir d'un cours ce n'est pas à partir d'un ouvrage.

awww...ok i get you ...
any way thanks and ...welcome
.....c u...

merciiiiiiiiiii............bcp

c'est trés interessant.merci

good
une question c quoi viaire ? donnée moi une solution svp

VIAIRE signifie "qui se constitue de voirie".
ex:un réseau viaire "un reseau de voirie".
voirie signifie "route-ruelle-rue"

merci

merci